Arion Soultaker

Je suis Arion Soultaker et je suis sûrement la personne la plus déterminé qui existe en ce monde. Comme vous la noter dans la phrase précédente, je ne mâche pas mes mots. On me considère carrément comme arrogant. Ce n’est pas nécessairement une insulte pour moi, c’est juste que les gens voient que j’ai trop de confiance en ce que je suis. Personnellement, je vois ça d’un bon œil, mais pas tout le monde apprécie mon attitude. Je ne suis pas du genre à chialer pour rien, j’ai toujours une raison de m’apitoyer sur mon sort.  Je vois les Pokémons comme des bons amis et de fidèles compagnons, c’est pourquoi je m’entends très bien avec ceux-ci. Peut-être voient-ils mon aura positive, qui sait? Ce que je sais toutefois c’est que je veux devenir l’ultime dresseur Pokémon. C’est un rêve que je chéris puisque je veux de la reconnaissance populaire. Je veux que les gens aperçoivent que le désir et la persévérance mènent à la réussite. Je désire aussi que tous comprennent que la vie n’est pas une succession de gestes quotidiens, mais bien des mouvements déjantés que l’on invente au fur et à mesure. La machine de la société, je ne l’apprécie guère. C’est aussi pourquoi j’ai refusé de vivre comme la majorité des gens des cités et que je suis partie à l’aventure. J’écrivais dans mon enfance, mais j’ai dû grandir plus vite que je ne l’espérais. Passionné de la nature et de l’art, j’ai su conquérir les contrées des peintures et des drames, puis, faire qu’un avec la nature. On dit souvent de moi que je suis un dresseur enflammé et que je suis un adversaire foudroyant au combat. Tout cela pour dire que je suis un excellent aspirant maître Pokémon. Je dois donc m'entourer de compagnons confiants, puissants, mais surtout, des compagnons que j'aime. Or, malgré tout, mon ambition la plus grande en devenant un maître Pokémon, c'est d'inspirer les nouvelles générations et de graver l'histoire...

28 octobre 1995, Thord,  dans la région d’Ammaï. C’est là que mon histoire débuta dans le plus noble village selon moi. En effet, ma ville natale accueillait le magnifique laboratoire du professeur Ambre et de son bras droit, John Soultaker, mon père. Il était un brillant scientifique Pokémon qui, chaque année, donnait, avec le professeur Ambre, à de jeunes dresseurs leur premier Pokémon afin qu’ils partent à l’aventure comme il le fit autrefois. C’était un grand amateur de la science neurologique des Pokémons. Il tentait de comprendre leur langage et de communiquer avec ceux-ci, c’était un vrai fan! Il était, chaque jour, accompagné de son meilleur ami : Noctali. C’était un Pokémon très mystérieux et pourtant si mignon! Il l’avait surnommé Shadow. En même temps, c’était littéralement un nom à son image qu’il lui avait donné. Autant était-il un homme de passion, qu’il sut découvrir sa passion première lors d’un duel épique contre une dresseuse aguerrie. C’était l’amour de sa vie et évidemment, ma mère : Lucy Mishima, dresseuse de Pokémon et désormais, scientifique au musée archéologique de Thord. Mes parents étant deux scientifiques, il est logique que j'ai hérité d'une analyse très développé dès mon jeune âge. De plus, ma mère était une dresseuse hors pair et elle l’est toujours. Ce fait influence aussi mon envie pour les combats Pokémon. Comme toute ma mère, elle est du genre à me donner des conseils autant sur la vie que sur les Pokémons. C’est une femme extraordinaire et attentionnée, je comprends pourquoi mon paternel à succombé! J’ai beaucoup hérité du côté arrogant et fier de ma mère, alors que mon père m’a transmis sa détermination et son amour pour les Pokémons. Il vient incontestablement une petite notoriété lorsque nos parents sont si connus à travers la région, plus précisément la ville. En même temps, on me traitait de génie à l’école et lors des combats, on était épaté de mes talents instinctifs. Tout cela venait de l’amour que j’avais envers les Pokémons, notamment Shadow et Karma, la Magireve de ma maternel. J’ai appris à apprécier leurs comportements et leurs réactions, puis à vivre avec afin de devenir une meilleure personne. Il faut dire que Shadow n’est pas toujours reposant, mais je l’adore plus que tout! S’il est vrai que mon enfance fut comblée, mon adolescence fut marquée par des rivalités et des amitiés. Yuna et Lucas surent marquer chacun à leur façon 6 ans de ma vie et encore plus j’espère! De 12 ans à 18 ans, donc aujourd’hui, Yuna et Lucas devinrent mes rivaux éternels et mes amis immortels. Alors que Yuna Mishima était la plus jeune enfant des Mishima, la sœur de ma mère et donc, ma tante, elle tenta d’une certaine façon d’imposer une figure maternelle. Or, elle n’y est pas arrivée comme elle le croyait. Elle est devenue une amie très chère et avec les années, une rivalité se créa entre nous deux. C’était une compétition pour savoir qui était le plus compétent en tant que dresseur Pokémon. C’était surtout une question d’honneur! Ma mère trouvait ça plutôt ridicule comme rivalité, mais elle aimait bien ça voir que cela créait un énorme lien entre nous deux. Protectrice envers sa sœur et son fils, du haut de ses 45 ans, elle était encore pleine d’énergie. Elle se donnait un grand plaisir à nous confronter en combat Pokémon et, malheureusement pour Yuna et moi, nous perdions tout le temps. Ma mère n’y allait sûrement pas de main morte! Du côté de Lucas, il était un excellent camarade de classe et on traînait souvent après l’école ensemble. C’était une routine et ma mère connaissait très bien Lucas qui, lui, était orphelin. Il avait hérité d’une grande fortune à la mort de ses parents dans un tragique accident et cela lui permit de payer ses études. Il vivait dans un énorme manoir et c’était assez mort chez lui! Il vivait avec son oncle, qui était un homme fort sympathique! Alors disons qu’il ne connut pas vraiment un portrait paternel très fort et une figure maternelle. Cependant, c’était sûrement la personne la plus joyeuse de toute la planète malgré ça! Il me reproche souvent mon arrogance et c’est sûrement là que notre rivalité vu le jour. Il voulait prouver qu’il pouvait être aussi bon que moi et c’était une façon de prouver sa valeur aux gens aussi. Toutefois, les matchs qu’il me livra se résumèrent par un échec de sa part. Il était trop occupé à rigoler et à faire des mauvais tours pour réellement s’entraîner. C’était un peu décevant, même si je participais de temps en temps à ses farces. Bref, aujourd’hui, puisque j’ai 18 ans, mon père m’a promis que je pouvais partir à l’aventure en toute liberté et que j’avais seulement besoin de lui rendre une petite visite au laboratoire avant de quitter Thord. Que voulait-il me dire au juste? C’était bien énigmatique tout cela! Cependant, ce qui était sûr c’est qu’autant Yuna que Lucas commencèrent à faire leur valise pour le long voyage qui les attendaient. C’était le début d’un long périple et d’une légendaire épopée…